• <script language="JavaScript1.2">// <![CDATA[ /* SCRIPT EDITE SUR L'EDITEUR JAVASCRIPT http://www.editeurjavascript.com */ function ejs_nodroit() { alert('Zone secrete©'); return(false); } document.oncontextmenu = ejs_nodroit; // ]]></script>

    A 230 km/h sur l'autoroute avec un bébé à bord

    Une vidéo des plus choquantes circule aujourd'hui sur le net. On y voit des personnes à bord d'un véhicule roulant à 230km/h sur l'E42 à hauteur de Tournai. Les irresponsables ont qui plus est un bébé sur le siège arrière. Etienne Schouppe

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ google_ad_client = "pub-2613255077510254"; /* 468x60, date de création 17/09/09 */ google_ad_slot = "1835467120"; google_ad_width = 468; google_ad_height = 60; // ]]></script><script type="text/javascript" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js"></script>


    votre commentaire
  • <script language="JavaScript1.2">// <![CDATA[ /* SCRIPT EDITE SUR L'EDITEUR JAVASCRIPT http://www.editeurjavascript.com */ function ejs_nodroit() { alert('Zone secrete©'); return(false); } document.oncontextmenu = ejs_nodroit; // ]]></script>

    Le chef de l'Eglise catholique belge entarté durant la messe de la Toussaint

    L'incident a eu lieu en plein office. Le chef de l'Eglise catholique belge, l'archevêque André-Joseph Léonard a été entarté durant une messe. Une vidéo circule en ce moment sur le Net. Selon le quotidien flamand Het Nieuwsblad, l'entartage du prélat, remonte à lundi dernier, durant la messe de Toussaint en la Cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule à Bruxelles. Le site du journal ajoute que les faits ont été confirmés par Claire Jonard, porte-parole francophone de l'archevêché, et l'abbé Patrick Vanderhoeven, maître des cérémonies de la cathédrale. Mgr André-Joseph Léonard a récemment suscité l'indignation en affirmant que la première propagation du virus du sida, au début des années 1980, était "une sorte de justice immanente". Sur l'homosexualité, le primat de Belgique avait déclaré qu'elle n'était "pas en cohérence avec la logique objective de la sexualité", tout en affirmant cette semaine que cela n'autorisait

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ google_ad_client = "pub-2613255077510254"; /* 468x60, date de création 17/09/09 */ google_ad_slot = "1835467120"; google_ad_width = 468; google_ad_height = 60; // ]]></script><script type="text/javascript" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js"></script>


    votre commentaire
  • <script language="JavaScript1.2">// <![CDATA[ /* SCRIPT EDITE SUR L'EDITEUR JAVASCRIPT http://www.editeurjavascript.com */ function ejs_nodroit() { alert('Zone secrete©'); return(false); } document.oncontextmenu = ejs_nodroit; // ]]></script>

    Policiers casseurs ? Une vidéo fait débat sur le net

    Une vidéo de l'agence Reuters prise dans une manifestation parisienne, qui circule sur le Net, pose de nombreuses question sur l'attitude des policiers en civil dans les manifestations. Si aucune preuve n'accuse ces policiers de "casser" eux-mêmes, leur complaisance devant les casseurs attise le débat.

    A coups précis, il fracasse la vitrine. Samedi 16 octobre, aux environs de 19 heures sur le boulevard Diderot à Paris, un "casseur", visage masqué, s'en prend méthodiquement à la devanture d'une agence bancaire, poteau en métal à la main. Il est sorti d'un groupe de manifestants masqués pour la plupart, munis de fumigènes, partis de la place de la Nation à la fin de la manifestation officielle contre la réforme des retraites. Comme le raconte en détail Rue89, certains d'entre eux cassent des abribus et quelques vitrines, suivis de près par des policiers.

    Devant la banque, un passant tente d'arrêter l'homme qui casse la vitrine, mais se fait frapper dans le dos par un autre homme masqué, qui saute en l'air et lui donne un coup de pied, avant d'éloigner journalistes et manifestants, une matraque à la main. Les images, spectaculaires, ont été mises en ligne sur Youtube Après la scène de l'affrontement, assez confuse, la caméra filme la fin du "cortège sauvage", avec des interpellations par des policiers en civil, après que les manifestants ont tenté d'occuper l'opéra Bastille. La vidéo est rapidement reprise et commentée sur internet. En moins d'une semaine, elle totalise près de 150 000 vues. Et très vite, des soupçons sont formulés, tant dans les forums de Youtube que sur des sites et des blogs : les casseurs filmés par la caméra ne seraient-ils pas des policiers en civil, en pleine action pour dégrader l'image du mouvement ou provoquer les manifestants les plus violents ? Il est vrai que ces images posent de nombreuses questions. D'abord, comment la vidéo a-t-elle été mise en ligne ? Les images de vendredi soir proviennent bien d'une caméra de Reuters, confirme-t-on à l'agence à Paris. Mais impossible d'en savoir plus : pas de commentaires, ni sur la façon dont elles ont "fuité" sur le net, ni sur leur contenu. En revanche, @si a pu joindre la personne qui les a postées sur Youtube. Elle indique "n'avoir aucun lien avec Reuters" mais précise que les images circulaient dans tous les médias audiovisuels et toutes les agences de presse, via les canaux satellites habituels utilisés par l'agence pour diffuser ses vidéos. D'ailleurs, la séquence a été utilisée le 19 octobre en ouverture d'un sujet de BFM TVsur les casseurs. Et celui qui a posté la vidéo ne souhaitait en effet pas du tout démasquer des policiers en civil, mais "montrer qu'une minorité pouvait perturber le message d'une grande manifestation pacifique...

     

                       

              <script type=text/javascript> if(navigator.userAgent.indexOf('iPhone') != -1) document.getElementById("xfb5db").innerHTML='voir la vidéo';</script>

    "Le "ninja" lui a semblé se déplacer comme un policier face à la foule. D'ailleurs, la vidéo peut laisser penser q'il est armé d'un tonfa,Idem pour celui qui cassait la vitrine tout seul. Il est simplement exfiltré de la scène, mais pas interpellé, "alors que même pas vingt minutes avant, un homme qui faisait des graffitis a été mis par terre et interpellé de façon musclée". De plus, le casseur "a agi anormalement : d'habitude, ceux qui cassent le font en groupe, pas isolé comme ça, justement pour éviter les interpellations".

     

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ google_ad_client = "pub-2613255077510254"; /* 468x60, date de création 17/09/09 */ google_ad_slot = "1835467120"; google_ad_width = 468; google_ad_height = 60; // ]]></script><script type="text/javascript" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js"></script>


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique