• <script language="JavaScript1.2">// <![CDATA[ /* SCRIPT EDITE SUR L'EDITEUR JAVASCRIPT http://www.editeurjavascript.com */ function ejs_nodroit() { alert('Zone secrete©'); return(false); } document.oncontextmenu = ejs_nodroit; // ]]></script>

    Le reporter de l'extrême :  Au coeur de la guerre en Afghanistan

    Ross Kemp : le reporter de l'extrême au coeur de la guerre afgahane. En Afghanistan, l'un des pays les plus dangereux du monde, Ross Kemp découvre le vrai visage de la guerre en rejoignant le premier régiment de Sa Majesté sur la ligne de front. Pendant 6 mois, il partage et nous faire vivre le quotidien des soldats britanniques. Le reporter de l'extrême Attention, ce programme n'est pas une fiction, mais une série de documentaires choc et inédite ! Acteur, auteur et journaliste anglais, Ross Kemp a acquis une reconnaissance internationale en tant que journaliste dinvestigation. Acclamé par la critique et primé aux BAFTA (oscars britanniques de la télévision) à plusieurs reprises pour ses séries documentaires chocs, Ross Kemp nous plonge dans les univers les plus dangereux pour nous en montrer la réalité : des pirates aux gangs, en passant par lAfghanistan. Ross Kemp : le reporter de l'extrême au coeur de la guerre afgahane. En Afghanistan, l'un des pays les plus dangereux du monde, Ross Kemp découvre le vrai visage de la guerre en rejoignant le premier régiment de Sa Majesté sur la ligne de front. Pendant 6 mois, il partage et nous faire vivre le quotidien des soldats britanniques.

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ google_ad_client = "pub-2613255077510254"; /* 468x60, date de création 17/09/09 */ google_ad_slot = "1835467120"; google_ad_width = 468; google_ad_height = 60; // ]]></script><script type="text/javascript" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js"></script>


    votre commentaire
  • <script language="JavaScript1.2">// <![CDATA[ /* SCRIPT EDITE SUR L'EDITEUR JAVASCRIPT http://www.editeurjavascript.com */ function ejs_nodroit() { alert('Zone secrete©'); return(false); } document.oncontextmenu = ejs_nodroit; // ]]></script>

    A chacun sa réalité ?

    Le monde que nous percevons correspond-il à une réalité, ou n’est-il qu’un pur produit de notre cerveau ? Du cyberespace aux techniques de méditation en passant par la neurobiologie et la chirurgie, plusieurs domaines de recherches permettent d’explorer les frontières entre les réalités physiques de notre corps, nos ressentis psychologiques et nos images mentales. Opérations sous hypnose, douleurs des membres fantômes après amputation, illusions d’optique... : de nombreux exemples montrent que notre cerveau et notre corps nous jouent parfois des tours. Ce qui pose la question de savoir dans quelle mesure notre perception individuelle de la réalité peut être influencée et modifiée. Des chercheurs de renommée internationale s’efforcent de fournir des réponses concrètes sur notre capacité à façonner notre réalité et font le point sur les travaux en cours.

    Partie 1  :

    Partie 2  :

    Partie 3  :

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ google_ad_client = "pub-2613255077510254"; /* 468x60, date de création 17/09/09 */ google_ad_slot = "1835467120"; google_ad_width = 468; google_ad_height = 60; // ]]></script><script type="text/javascript" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js"></script>

     


    votre commentaire
  • <script language="JavaScript1.2">// <![CDATA[ /* SCRIPT EDITE SUR L'EDITEUR JAVASCRIPT http://www.editeurjavascript.com */ function ejs_nodroit() { alert('Zone secrete©'); return(false); } document.oncontextmenu = ejs_nodroit; // ]]></script>

    Le pacte du diable

    À travers le monde, les Etats-Unis gardent des détenus dans des prisons extraterritoriales et étrangères dans lesquelles il n’est pas permis de contrôler des allégations de mauvais traitements. Les Etats-Unis ont aussi été accusés d’envoyer des personnes soupçonnées de terrorisme dans des pays étrangers reconnus comme utilisant la torture pour soutirer les informations désirées. Le cas classique, évidemment, a été celui de la base de Guantánamo à Cuba, que l’administration Bush a intentionnellement choisi afin que plus de 700 détenus de quelques 44 pays soient gardés hors de porté des juridictions américaines ou de quelque autre juridiction. Le gouvernement des Etats-Unis a énoncé que les tribunaux américains n’auraient pas eu compétence sur ces détenus même s’ils avaient été torturés ou exécutés sommairement. Toutefois, la base de Guantánamo pourrait ne pas représenter le problème le plus grave; la base pourrait même servir de diversion pour des cas plus extrêmes. Peut-être de peur que la base de Guantánamo soit un jour sous la juridiction des tribunaux fédéraux américains, l’administration Bush n’y garde pas ses détenus les plus recherchés. Les suspects d’actes de terrorisme comme Ramzi bin al-Shibh et Khalid Sheikh Mohammed sont plutôt gardés dans des lieux de détention secrets à l’étranger, sans autorisation de visites par des membres de la Croix Rouge ou par tout autre observateur neutre pouvant évaluer leurs conditions de détention...

    Partie 1  :
        
    Partie 2  :
        
    Partie 3  :

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ google_ad_client = "pub-2613255077510254"; /* 468x60, date de création 17/09/09 */ google_ad_slot = "1835467120"; google_ad_width = 468; google_ad_height = 60; // ]]></script><script type="text/javascript" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js"></script>


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique