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    Marcher à traver une table

    Les magiciens sont des gens qui m’impressionnent. Pas à cause de la magie, car cela n’existe pas, mais par la mise en scène de leur tour. Ici on peut voir un magicien travers une table en marchant. C’est spectaculaire et les réactions des témoins valent elles aussi leur pesant de cacahuètes.

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    La « Françafrique », à tort et à réseaux

    Il a le souffle court et la respiration bruyante de la vieillesse. La franchise et l’envie de parler, aussi, de celui qui va mourir bientôt : dans Françafrique, Maurice Delaunay, décédé un mois après l’entretien, raconte son existence de factotum au service de la raison d’État. « Entièrement dévoué à m’sieur Foccart », le père de la Françafrique et maillon central de ses fameux réseaux, Delaunay fut responsable de la violente répression des indépendantistes au Cameroun à la fin des années 50, deux fois ambassadeur au Gabon, maître d’œuvre de l’installation au pouvoir d’Omar Bongo, de l’intervention française au Biafra… C’est l’intérêt principal de ce formidable documentaire réalisé par Patrick Benquet : ici, pas de grandes révélations mais pour la première fois les grands acteurs de la Françafrique viennent confirmer, face caméra, leur rôle et celui de la France dans plusieurs épisodes troubles depuis les indépendances africaines des années 60. Dans cet aréopage d’hommes politiques, barbouzes ou agents secrets, on trouve Delaunay donc, qui « livrait un peu son testament », précise Benquet, mais également Maurice Robert, relais de Foccart au SDECE, l’ex-DGSE ; Martin Kirsch, le Monsieur Afrique de Giscard ; Loïk Le Floch-Prigent, ex-PDG d’Elf, ou encore Robert Bourgi, avocat de plusieurs présidents africains et fils spirituel autoproclamé de Foccart. Une « parole libérée », décomplexée, « sans doute parce que Sarkozy avait dit que tout allait changer », explique le documentariste, qui fut conseillé pour ce film par Antoine Glaser, grand spécialiste de la question et ancien rédacteur en chef de la Lettre du Continent. Dans ce domaine-là aussi, en effet, le chef de l’État avait annoncé sa volonté de rupture. Qui fut de courte durée : début 2008, Jean-Marie Bockel, alors secrétaire d’État à la Coopération, s’engage à « signer l’acte de décès de la Françafrique ». Un mois plus tard, il est brutalement congédié, à la demande d’Omar Bongo, le président gabonais. Un épisode qui révèle les sursauts d’un système que beaucoup avaient hâtivement enterré. Le documentaire retrace l’histoire, obscure et compliquée, de la Françafrique, de sa genèse à son agonie, de De Gaulle à Sarkozy, des réseaux de Foccart aux ronds de jambe de Robert Bourgi, où, comme l’indiquent les titres des deux parties du film, « La raison d’État » est peu à peu remplacée par « L’argent roi ». En fil rouge, l’obsession de la France pour son indépendance énergétique. Au début des années 60, le pays perd l’Algérie, son principal pourvoyeur en pétrole. La France se tourne alors vers ses quatorze ex-colonies africaines, convaincue que la prospérité de l’industrie pétrolière nécessite la stabilité des pouvoirs en place. Quel qu’en soit le prix, racontent les petites et grandes mains de la Françafrique, interrogées dans le documentaire. Pour garder la mainmise sur son pré-carré africain, la France n’hésite pas à jouer au faux-monnayeur (pour déstabiliser l’économie guinéenne), à l’empoisonneur (de Félix Moumié, leader de l’opposition camerounaise), au seigneur de guerre (en armant et formant les officiers biafrais). La liste est longue, et c’est dans cette accumulation de manipulations, meurtres ou valises de billets, que le documentaire trouve sa puissance argumentaire. « Tout le monde connaît le Biafra, Bob Denard, les diamants de Bokassa, l’affaire Elf, affirme Patrick Benquet. L’important, c’était de remettre tout ça en cohérence, de montrer le fonctionnement du système. » Le réalisateur a aussi choisi la « lisibilité » à l’exhaustivité. Il n’y a rien, par exemple, sur les réseaux Pasqua, ni sur la présence systématique de Patrick Balkany dans les déplacements africains de Sarkozy. « Sur ces sujets, mes contacts se sont dégonflés. De ce côté-là, ça reste sacrément verrouillé », regrette Benquet. Mais peu importe, puisque de toute façon, comme le dit Delaunay, cynique : « Il y a des moments où la politique passe avant la morale. »

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    Un étudiant en chaise roulante violemment heurté par la police

    Une vidéo circulant sur le net choque l'Angleterre. On y voit un policier traîner derrière lui un jeune homme, paralysé des membres inférieurs, après l'avoir jeté de son fauteuil roulant. Jody McIntyre, 21 ans, a été littéralement jeté de sa chaise et emmené par les forces de l'ordre alors qu'il participait aux manifestations estudiantines devant le parlement britannique à Londres. Une enquête au sein de la police est en cours après que les images aient circulé sur Youtube.

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    Vladimir Poutine se met à la chanson !

    Lors d'une soirée caritative organisée à l’Ice Stadium de St Pétersbourg en vue de collecter des fonds pour les enfants atteints de cancer, l’homme politique venu du froid a toutefois prouvé qu’il ne manquait pas de cœur en entonnant, pour le plus plaisir des célébrités présentes à cette occasion, une chaleureuse reprise de la chanson rendue célèbre par Fats Domino, « Blueberry Hill ». À cette occasion, le monde a ainsi pu découvrir l’autre visage du premier ministre aux traits d’acier. Voilà une interprétation qui ne laissera personne de glace, en tout cas

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    Usher reçoit le pied d'une fan en plein visage

    C’est pendant un concert ce mardi à Madison Square Garden, à New York que Usher pendant une chanson invita une fan sur la scène et pendant un échange de position sensuelle la jeune femme lui donna un coût de pied en plein visage. Usher avoue avoir eu très mal mais préfère prendre ça avec le sourire.

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